(370 mots) Pierre Bezukhov est l'un des héros préférés de Léon Tolstoï. Ce jeune homme exprime toutes les pensées et les idées de l'auteur, reprend son chemin de vie. Ses données externes ressemblent également à l'apparence d'un écrivain célèbre. Ils le caractérisent comme une personne.
Pierre à première vue n'a pas pu frapper une dame avec son apparence. Il était grand, maladroit et maladroit. Ses données externes ne pouvaient pas être qualifiées de réussies: de grosses lunettes, un visage épais et étalé, un sourire timide, des mouvements imprécis et impétueux. Ni l'habillage militaire ni l'élégance civile n'étaient dans ce héros.Par conséquent, quand il est apparu pour la première fois dans le salon d'Anna Pavlovna Scherer, les gens l'ont traité avec une certaine indulgence. Chacun d'eux a vu en lui un homme qui n'était pas de son entourage - le fils illégitime du noble de Catherine. Pierre était habillé à la mode, mais tous ces manteaux et tiroirs ne sont étonnamment pas allés à sa silhouette grande et lourde.
Cependant, quelque chose distinguait ce jeune invité parmi tous les vénérables habitants des salons séculaires. C'était de la sincérité. Le héros était remarquable pour sa franchise et son ouverture sans tact, qui ont tellement effrayé ceux qui lui ont parlé pour la première fois. Son regard, intelligent et gentil, désarma le menteur et le méchant le plus spectaculaire. Même en dispute, Pierre a réussi à sourire et à avoir l'air de s'excuser pour quelque chose. Par conséquent, il a été pardonné de manque de tact et de manque de beauté extérieure.
Tolstoï a décrit son héros comme suit:
Pierre était maladroit. Gras, plus grand que d'habitude, large, avec d'énormes mains rouges, il, comme on dit, ne savait pas comment entrer dans le salon et encore moins comment en sortir, c'est-à-dire dire quelque chose de particulièrement agréable avant de sortir. De plus, il était dispersé. Se levant, au lieu de son chapeau, il attrapa un chapeau triangulaire avec un panache général et le tint, tirant sur le sultan, jusqu'à ce que le général demande à le rendre. Mais toute sa distraction et son incapacité à entrer dans le salon et à y parler ont été achetées par une expression de bonne nature, de simplicité et de modestie.
Cependant, l'attitude envers le gros et l'aveugle a radicalement changé lorsque, selon la volonté de son père, il a reçu une grande fortune. Les nobles laïques, qui dédaignaient sa société et critiquaient ses opinions de manière critique, se prosternaient désormais devant lui. Même la belle Hélène, passant fièrement devant, tourna son regard vers le petit ami maladroit.
L'auteur a délibérément rendu son héros laid et même répugnant. Il a donc montré qu'ils accepteraient et caresseraient toute personne si son père était généreux et économe lorsqu'il distribuait l'héritage. L'apparence du personnage est accentuée par son monde intérieur, plein de timidité et de vulnérabilité.